Le spectacle mêle au jazz la langue acerbe de Dorothy Parker, l’une des maîtresse du cynisme et de l’humour noir. Entre les notes et les mots, les personnages cachent mal leur déception face au genre humain. Comme sur une scène de cabaret, ils se dévoilent. Musique sur voix, ou prise de parole sur notes ?
Ici, la musique n’est pas un accompagnement. Nous ne tentons pas de polir le propos mais au contraire de le rendre plus vif, de faire sonner le sens et de le débarrasser de la solitude de la lecture individuelle.